Pour beaucoup d'entre-vous le déconfinement est arrivé, et pour les autres ça ne va pas tarder. Nous imaginons la joie pour chacun de pouvoir à nouveau se sentir libre, tout au moins plus libre qu'avant.
De notre coté, le confinement est repoussé jusqu'au 31 mai. C'est certain que c'est difficile, mais le jeu en vaut la peine, car comme je le disais déjà dans mon précédent email du 30 mars, nos autorités mauriciennes sont exemplaires dans leurs décisions.
Ceci nous vaut un bilan tout aussi exemplaire, avec en ce 14 mai :
Cela dit, pas évident de faire des "communications commerciales" en ce moment, pour autant cet email a pour but de vous montrer à quel point notre pays à pris au sérieux ce risque de pandémie, et est prêt à vous recevoir en toute sérénité, très bientôt.
Oui, très bientôt, car pour le moment nos frontières sont encore fermées, ainsi que notre aéroport.
C'est sûr que des autorités aussi prudentes ne décideront pas de rouvrir notre territoire sans que le risque de re-contamination soit proche de zéro, mais le monde du tourisme attend ici avec impatience des solutions, comme par exemple l'existence d'un test rapide que pourrait être fait sur tous les touristes arrivant, avant leur enregistrement à l'aéroport.
Une fois ici, dans votre villa, sur votre plage, et grâce à la politique sanitaire de notre pays, vous serez en toute sécurité pour profiter de vos vacances sous les tropiques, tant rêvées .....
Sinon, dans le précédent email, je vous faisais part de nos engagements pour un bilan carbone responsable, pour un bilan environnemental, social et sociétal durable, et un tourisme autrement.
Où en sommes nous ?
Pour l'instant, nous avons avancé sur 2 des points de cet email du 30 mars :
Bien sûr, il reste encore beaucoup des sujets abordés lors de cet email du 30 mars dernier, non-considérés, mais ces temps de confinement et de crise économique ne facilitent pas les choses.
Nous vous tiendrons informés à chaque fois que de nouveaux éléments seront là.
D'ici là, prenez soin de vous et de vos proches
Cordialement,
Guillaume de Bricourt